17.12.07
F2
Colette * The Lazy Dog * Palais de Tokyo * 7L * Galerie 213 * La Hune * Florence Loewy * Artazart * Librairie Odessa * MEP * Librairie 2visu * Chambre Claire * Comptoir de l’image * Beaubourg (janvier) * L’Arbre à Lettres (janvier) * Jeu de Paume (janvier) * Fondation Cartier (janvier) etc.
14.12.07
Joie de construction
Exposition Collective : MELANIE BONAJO, JAAP SCHEEREN & LUKAS WASSMANN
VERNISSAGE: Jeudi 20 Décembre, de 19h à 22h.
Performances par Voin de Voin + Kinga Kielczynska(20h) et Eva Maria Küpfer(20h30)
Exposition: du 21 Décembre 2007 au 12 Janvier 2008 (Mar-Sam de 14h30 à 19h ou sur rdv)
Galerie Gana-Beaubourg
3, rue Pierre au Lard 75004 Paris
Metro: Rambuteau/Hôtel de Ville
www.peepingtomgalerie.com
La boutique provisoire de la Lomographie à Paris
LOMOGRAPHY CHECK-IN!
6 Place Franz Liszt, 75010 Paris
Horaires d’ouverture : du mardi au samedi de 10h30 à 19h00
La boutique provisoire de la Lomographie à Paris
La Lomographie débarque en France et pose ses valises dans une boutique-galerie parisienne qui lui est entièrement dédiée. Un lieu non dépourvu de style et d’un certain charme où la Lomographie a bien l’intention de prendre ses aises et de nous en faire voir de toutes les couleurs.
La Lomographie ouvre ses nombreux bagages et la marchandise sera temporairement exposée dans ses valises.
Lomography Check-In! a pour vocation d’être tant un lieu de vente qu’un point de rencontre pour les Lomographes parisiens et tous ceux que la photographie analogue et les activités de la plateforme mondiale de Lomography ne cessent d’enthousiasmer. Toujours noyées dans une paperasse bureaucratique sans nom et des idées Lomographiques débordantes, l'équipe de conception de Lomography et l'Ambassade Lomographique de Paris ont conçu un espace autour du thème temporaire du transit. Presque entièrement installée à l’intérieur de vieux bagages et offrant une superbe sélection de produits Lomographiques, la boutique présente également le plus grand LomoWall au monde sur le thème du voyage !
Lomography Check-In ! accueillera aussi les fameux événements et ateliers renommés de Lomography sur la photographie analogue, les outils Lomographiques et les trucs à savoir, le charme de la vraie pellicule et la beauté intergalactique.
Rassemblez vos valises et votre matériel, on vous appelle pour l’embarquement : vous êtes invité à venir découvrir ce qui deviendra au printemps 2008 la première boutique Lomographique de Paris !
peter boesch
paris@lomography.com
tel: 09 50 48 03 06
10.12.07
MAD VICKY’S TEA GALLERY
Le 1er février dans le 18 ème arrondissement de Paris, Mad Vicky (Bianca Casady du groupe Cocorosie) ouvrira sa Tea Gallery.
Cette soirée d’ouverture sera aussi l’opening du show solo de Leif Ritchey (artiste/designer de NYC).
La galerie deviendra ensuite une boutique active avec thé à emporter, vêtements fait main, musique, art … et avec les artistes Leif & Tooya en résidence.
HONEYEE
http://blog.honeyee.com/weloveparis
Vous allez voir…
27.11.07
Vernissage
19.11.07
16.11.07
Interview de Natasha Khan, de Bat for Lashes
Interview extraite du #10 de Rendez-Vous magazine.
Interview par Alain Père. Photo Ola Rindal.
Elle est subtile et enivrante, Natasha, alias Bat For Lashes. Corrosive et connivente, discrète et pleine d’humilité, elle est la fée différée de cette année, tant son premier album, sorti il y a plus d’un an en Angleterre, aurait dû révéler bien plus tôt l’extraordinaire potentiel de cette femme-orchestre anglo-pakistanaise aux reflets katebushiens.
« Björk est venue me voir à un concert en Angleterre, auquel elle a assisté en régie pour m'éviter une crise cardiaque »
Impossible de ne pas succomber aux charmes conjugués de cette hardie barde des temps obscurs, où Interpol règne en maître sur tous les Editors de musique à rêver. Impossible de ne pas succomber à ce sourire mutin et à ce grain de beauté juste au-dessus de lèvres qu’elle a si finement ourlées. Et comment résister à une telle alchimie ? Les audaces vocales parfois vaines de l’Islandaise Björk, l’intensité tribale de Siouxsie Sioux, sorcière en chef de l’underground londonien post-punk, le tempérament et une partie des racines musicales de Chan Marshall alias Cat Power, le côté sec et revendicatif d’une Polly Jean Harvey, le génie symphonique de Kate Bush… On pourrait multiplier les références à l’encan, mais Natasha Khan est heureusement irréductible à cette somme d’allégeances, d’ailleurs plus ou moins revendiquées. Un drôle d’univers lynchéen entre rêve et cauchemar, séduction et exutoire, moteur d’un été étoilé sous le ciel menaçant de Karachi City.
Alain Père : Combien d’instruments maîtrises-tu et quel est ton jouet favori ?
Natasha Khan : Je joue du piano, de la harpe, des percussions, de la guitare, des synthés, de la basse… Mais mon instrument de prédilection reste le piano, que je pratique depuis ma plus tendre enfance ; c’est mon plus vieil ami.
Alain : En parlant de harpe, as-tu vu le concert de Joanna Newsom sur sa dernière tournée, avec sa harpe immense qui ressemblait à une baleine ? Existe-t-il des liens entre son travail et le tien ?
Natasha : Elle est vraiment étonnante, j’admire l’ensemble de son travail, ses paroles, son attitude. C’est un génie. Mais le lien n’est pas aussi évident, en tout cas, ce n’est pas à moi de le dire. C’est vrai que nous aimons toutes les deux la nature, la magie, la beauté des sonorités qui émanent des vieux instruments… Mais sa musique est beaucoup plus pure que la mienne, presque traditionnelle, beaucoup plus loin de la pop que ce que j’ai pu enregistrer jusqu’ici. Elle apporte quelque chose de baroque dans le rock. Et je suis incapable d’écrire des chansons aussi longues.
Alain : Pourquoi ton premier album sort-il aussi tardivement en France, plus d’un an après sa parution en Angleterre ?
Natasha : Essentiellement pour des questions d’argent. J’ai sorti mon premier disque sur un tout petit label anglais, Echo (l’ancien label de Moloko, ndlr), et ils n’avaient pas les moyens de le distribuer dans le monde entier. Il a fallu attendre que Parlophone récupère la licence pour accéder à une sortie internationale. Mais, je crois que c’est le bon timing : je me sens plus forte et plus confiante dans le groupe aujourd’hui, j’avais besoin d’un peu de temps pour acquérir de l’expérience. Je pense sincèrement que trop d’exposition aurait pu nuire à l’album.
Alain : Comment as-tu imaginé et écrit ce premier recueil de chansons ?
Natasha : À partir de mon subconscient, de mes rêves les plus noirs, dans un petit studio pas vraiment réjouissant… La plupart des titres (six sur onze, exactement, ndlr) ont été écrits en quatre semaines ; le reste a été imaginé du côté de San Francisco où j’avais décidé d’aller me balader quelques semaines toute seule avec mon sac. Beaucoup d’endroits là-bas, comme le Yosemite National Park, Big Sur ou l’autoroute du Pacifique, m’ont vraiment filé une claque. Si tu descends vers LA, les paysages sont incroyables. Et puis, je suis restée pas mal de temps sur place avec mon copain Devendra (Banhart, ndlr). Je crois que les sentiments véhiculés au sein de sa petite communauté de musiciens ont porté mon inspiration, un peu comme une image des années 60 qui n’aurait pas du tout jauni. Du coup, je suis rentrée en Angleterre avec plein d’idées nouvelles.
Alain : Pourquoi te réfugier derrière le pseudonyme de Bat For Lashes ?
(Elle montre le joli tatouage en forme de chauve-souris sur son épaule gauche et éclate de rire.)
Natasha : Oui, c’est une chauve-souris, mais ce mot a un double sens en anglais (bat for lashes signifiant battement de cils, ndlr). C’est donc plus à prendre comme une onomatopée, ça sonne comme la musique de mon album. Et puis, je ne voulais pas faire quelque chose sous mon propre nom, sans doute pour éviter de décrire directement mon univers… Si tu dis « Natasha Khan », c’est d’un ennuyeux et d’un prévisible. C’est un peu comme « Céline Dion », tu sais tout de suite à quoi t’attendre ! (rires)
Alain : Tu arrives en France précédée d’une forte réputation : Thom Yorke, Devendra Banhart ou Jarvis Cocker ne jurent plus que par toi. (Elle éclate à nouveau de rire.) Tu précédais Björk fin août lors du festival parisien Rock en Seine… Est-ce que ça change ta manière d’aborder les médias ?
Natasha : Ça met sans doute un peu de pression, mais ça a aussi des effets bénéfiques. Il y a peut-être un côté exploitation du phénomène par les médias, mais c’est aussi un véritable honneur d’avoir l’aval de musiciens aussi avant-gardistes et talentueux. Björk est venue me voir à un concert en Angleterre, auquel elle a assisté en régie pour m’éviter une crise cardiaque. Elle était douce, pleine d’attention… Nous avons évoqué Antony and the Johnsons et d’autres musiciens new-yorkais avec qui elle travaille, c’était comme dans un rêve.
Alain : Quel genre de musique écoutaient tes parents ?
Natasha : Ma mère était plutôt Motown, Al Green, Marvin Gaye, avec quelques petites infidélités du côté de Fleetwood Mac. Mon père était davantage dans la tradition pakistanaise, la musique religieuse, les tablas, le sitar… Quant à mon parrain, c’était le voisin de Danny Thompson, un prodige de la double basse dans les sixties, entre folk et jazz. Il m’a fait découvrir Julian Cope, James Taylor. C’était sans doute plus risqué, mais c’était la porte d’entrée à la musique grunge et noisy. J’ai véritablement « ressenti » la musique avec Sonic Youth, Kurt Cobain, Pearl Jam et Radiohead.
Alain : Pourquoi ton disque ne reflète-t-il pas davantage tes racines familiales ?
Natasha : Je pense que sur certains titres comme Sarah, on sent l’influence de la Motown autant que celle de mes racines orientales. (Elle chante le refrain. On entend Sahara, et on lui fait remarquer que le prénom sonne dans sa bouche comme le nom d’un désert africain… Elle semble s’en satisfaire, ndlr.) Et je crois qu’on retrouve dans ma musique les thèmes récurrents de la représentation religieuse pakistanaise, les légendes animistes, tous les symboles mystérieux autour des fantômes, des génies, des diables, qui peuplent le blues local.
Alain : Tu cites aussi Cat Power, Kate Bush ou Björk parmi tes principales influences. Qu’est-ce qui distingue ton univers du leur ?
Natasha : J’ai aujourd’hui 27 ans et ça m’a pris pas mal de temps pour accoucher de ma propre personnalité. Je me nourris de ces artistes comme d’une résonance, c’est comme une filiation, je vois des frères et des sœurs dans les disques ou dans les gens que je rencontre… Ça m’a beaucoup aidée d’avoir ces solides exemples féminins en face de moi, elles m’ont montré quelque part le chemin, mais elles font désormais partie du paysage. On ne demande pas à Mick Jagger pourquoi il est né après Elvis Presley !
À écouter, Fur and Gold, Echo/Capitol/EMI. Dans les bacs.
À voir en tournée française au mois d’octobre. ww.batforlashes.co.uk
13.11.07
*W*E***L*O*V*E***B*L*E*S*S*
- Vendredi 16 : 8h30 - 21h
- Samedi 17 : 11h - 20h
- Dimanche 18 : 11h - 16h
Youhou.
12.10.07
5.10.07
I'm not there
4.10.07
Bruno : fashion journalist
Bruno: nouvel avatar de Sasha Baron Cohen aka Ali G, aka Borat. Un journaliste de mode caricatural.
Un film sur les écrans sous peu...et encore de bons fous rire en prévision!
About a son...
28.9.07
Les sacs
27.9.07
25.9.07
Pour ceux qui n'étaient pas là…
Mercredi 26 !! Rendez-Vous au water-bar chez colette #4/4 !!
21.9.07
Antijour #3
On l'attendait depuis un moment, le nouveau numéro du super magazine de notre ami Guido et ses copains, le voici !! (Critique plus précise une fois que je l'aurai lu, ce weekend dans le bain probablement…) Check ici.
20.9.07
Les bonnes résolutions de la rentrée...
Ne vous découragez et optez pour des alternatives atypiques. Parmi elles, deux options: le swiss ball et le nordic walking. La première aporte une dimension ludique et la deuxième se pratique au grand air.
Le Swiss ball: Le swiss ball est né - comme son nom l'indique - en Suisse dans les année 60. A l'origine, il était destiné aux patients souffrant du dos. Durant les années 1990, le swiss ball a été adopté aux Etats-Unis par un grand nombre de professionnels du fitness. Cette technique se pratique avec un gros ballon souple par définition instable. Le but : trouver votre centre de gravité en faisant travailler les muscles stabilisateurs. Les muscles abdominaux et la colonne vertébrale sont particulièrement sollicités. Il ne s'agit pas ici d'augmenter la masse musculaire mais de la tonifier, et d'assouplir l'ensemble du corps pour une silhouette harmonieuse et un élégant maintient.
Le Nordic Walking: Née en Finlande, la marche nordique a été créée par les skieurs de fond qui l’utilisaient comme méthode d’entraînement lors de la période estivale. A ce jour en Finlande plus d’1 million de personnes l’ont déjà pratiquée une fois et 500 000 personnes l’ont adoptée comme activité physique régulière. En France et chez nos voisins européens (Angleterre, Allemagne, Suisses, Belgique…), elle remporte également un grand succès.
Pratiquer le nordic walking permet de se muscler, de mieux respirer tout en jouissant d'un incroyable confort de marche, notamment du fait de l'utilisation des bâtons. Le nordic walking apporte 30 à 40% de plus que la marche traditionnelle.
Où pratiquer à Paris: www.getinshape.fr (il y a aussi des cours de yoga/pilate)
18.9.07
Lectures de F.Begaudeau et P. Vasset
Bégaudeau en arrière plan, s'appliquant à lire et lisant vite, de plus en plus vite et de mieux en mieux, quasi prêt à lire les 130 pages de la "Fin de l'histoire". Bégaudeau où la star de l'arrière plan, magnifiquement cinématographique (il est d'ailleurs l'acteur principal de l'adaptation ciné de son "Entre les murs", bientôt sur les écrans).
Au premier plan, voici Phlippe Vasset dont le dandysme éclate en plein jour dans cette façon de regarder dans le vague et d'attendre son tour (de lecture) en sirotant un peu de champagne (juste avant qu'on lui propose une coupe, il avait eu un mouvement de recul, "du champagne, si tôt ?"). Derrière lui, les images vidéo de ses périples rurbains en Ile-de-France.
Pour lui aussi, c'est la "Fin de l'histoire".
"... les périmètres sont maintenant sécurisés, les surfaces vernies et les portes condamnées. La seule alternative est de se fixer des itinéraires arbitrairesqui faussent les points de vue ménagés et taillent à la serpe dans l'agencement harmonieux des constructions"
(Un livre blanc, page 78)
Merci à eux d'être venus et d'avoir trouvé que c'était trop court
Mercredi 19 !! Rendez-Vous au water-bar chez colette #3/4 !!
15.9.07
De la musique pour un dimanche aprèm…
14.9.07
Fuck Friends
Une soirée qui attirera les curieux, notamment du fait de la présence des mystérieux Bitchee Bitchee Ya Ya Ya et de leur chanteuse masquée, dont ce sera le second live.
Cette nouvelle signature Kistune remarquée par son single rouleau compresseur "Fuck friends" et ses nombreux comments myspaciens, marche droit sur les traces des Bonde Do Role. Pour les amateurs de beats déchaînés et de drague très premier degrès.
Depuis dix ans, Jamie Meline accumule les casquettes. Membre du groupe culte Company Flow, producteur, tête du label Definitive Jux : toutes ont contribué à en faire le pape du hip-hop indé. Son second album solo, I'll Sleep When You're Dead, paru cette année, dévoilait ainsi de passionnantes collaborations avec The Mars Volta ou Cat Power.
www.myspace.com/elproducto
C'est avec des remix pour Au Revoir Simone ou Poney Poney que le duo franco-britannique Bitchee Bitchee Ya Ya Ya s'est fait connaître. Sur scène c'est un irrésistible alliage de pop, electro et punk que les deux partenaires déballent, avec un enthousiasme tangible et une insatiable envie de titiller les pieds.
www.myspace.com/bbyayaya
Producteur, rappeur, DJ, membre des Sebutones, le Canadien Buck 65 est devenu depuis plus de dix ans une figure-clé du hip hop avant-gardiste. Buck 65 va au-delà du hip hop, en assumant des influences aussi diverses que le folk, le rock, le blues et l'électro, dans une expérimentation permanente. Un phénomène rare à découvrir absolument en live.
www.myspace.com/buck65
Ils ont beau être jeunes, les Anglais de Smallwhitelight présentent déjà un CV prometteur et une cavalcade de chroniques élogieuses dans la presse et les radios britanniques. Leur site dévoile déjà une poignée de chansons indie rock imparables, qui évoquent aussi bien l'énergie des Queens of The Stone Age que le Dylan électrique ou le Thom Yorke fougueux des débuts.
www.myspace.com/smallwhitelight
13.9.07
Rendez-Vous chez colette part #2 - "littérature et politique"
Pour bien commencer le week end...
VICARIOUS BLISS POP EXPERIENCE Featuring...HEADBANGIRL
pour leur premier concert
TAHITI BOY TRIO & GUESTS (Fr)
en formation réduite avant leur concert à la Maroquinerie le 29 septembre
Ecoutez à la maison Le Vicarious Bliss Pop Experience featuring Headbangirl et Tahiti Boy and the Palmtree Family. Vinyle 7'' bleu, Arcade Mode AM712 disponible sur www.arcademode.com.
http://www.myspace.com/vicariousblisspopexperiencefeatheadbangirl
http://www.myspace.com/tahitiboyfamily
12.9.07
Good life!
Suite à son échec aux VMA 2006, contre So_Me et Surface to Air qui avaient raflé le trophée dans la catégorie meilleur clip avec "Never be alone", le rappeur ne s'est pas démonté et a demandé à notre illustrateur préféré de bosser pour lui.
On est très heureux de diffuser le résultat de cette collaboration:
11.9.07
De la régression...
Relookez au choix, Paris Hilton et ses copines, les stars du r'n'b ou les acteurs et actrices habituées des tabloïds...
On notera par ailleurs la présence de Diam's, rare française au panthéon des stars à customiser.
Morceaux choisis pour Rendez-Vous magazine:
le groupe Panic at the Disco!, Mischa Barton et Kanye West.
10.9.07
A propos de Kanye
Gimme more...
Groupe de l’année : Fall Out boys.
Artiste féminine : Fergie.
Artiste masculin : Justin Timberlake.
Single de l’année : Rihanna : "Umbrella".
Clip de l’année : Rihanna : "Umbrella".
On note aussi la performance un peu ratée de Britney... pas très à l'aise et pas très innovante d'un point de vue chorégraphique. Au moins elle a retrouvé la ligne!
9.9.07
David Lachapelle again...
Rihanna, Fall Out Boy, Kanye West, Foo Fighters et Chris Brown chanteront tous ce soir à Las Vegas.
On croise les doigts pour que nos Justice nationaux dégomment Kanye West pour la seconde fois!
(cliquer pour agrandir la photo)
8.9.07
Mercredi 12 !! Rendez-Vous au water-bar chez colette #2 !!
(entrée libre)
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À suivre :
• Rendez-Vous au water-bar #3 le mercredi 19 septembre (17h30-19h) : CINÉMA
Preview de La Fôret de Mogari de Naomi Kawase & Sans Toi d'Olivier Planchot (Haut et Court) + expos
• Rendez-Vous au water-bar #4 le mercredi 26 septembre (17h30-19h) : MODE
Sortie de Rendez-Vous #10 + expos
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François Bégaudeau est né en 1971. Enseignant actuellement en disponibilité (il travaille à l’adaptation cinématographique de Entre les murs avec Laurent Cantet), il est collaborateur régulier de diverses revues : Inculte, Cahiers du cinéma, Transfuge et, depuis septembre 2006, chroniqueur littéraire de La matinale sur Canal +.
Chez Verticales : Jouer juste (2003), Dans la diagonale (2005), Entre les murs (2006 ; Prix France Culture-Télérama ; Folio, 2007).
Chez Naïve : Un démocrate, Mick Jagger 1960-1969 (2005).
Chez Gallimard (avec Arno Bertina et Olivier Rohe) : Une année en France.
http://www.editions-verticales.com
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Philippe Vasset est né en 1972. Diplômé de géographie et de philosophie (Sorbonne) et de relations internationales (Johns Hopkins University, Washington DC), il a travaillé dans le cabinet d'investigation américain, Kroll Associates, avant de devenir le chef de bureau de Washington d'Indigo Publications, la société française qui publie Le Monde du Renseignement, La Lettre du Continent, la Lettre de l'Océan Indien, Africa Mining Intelligence, Africa Energy Intelligence et Maghreb Confidentiel. Revenu en France en septembre 2000, il est désormais rédacteur en chef d'Africa Energy Intelligence au siège parisien d'Indigo Publications. Il a été lauréat du Prix du Jeune Ecrivain 1993, organisé par le journal Le Monde et le Ministère de la Culture.
http://www.fayard.fr
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Expo photo
• Denis Robert par Ami Sioux / RdV#4
• Valérie Mrejen par Henry Roy / RdV#2
(http://www.henryroy.com)
• Maurice Nadeau par Amit Berlovitz / RdV#2 (http://www.dimanches27.com)
• Michel Rocard par Xavier Cariou / RdV#6 (http://www.cariou-beneteau.com)
• Regis Jauffret par Sophie Toporkoff / RdV#7 (http://www.myspace.com/toporkoff)
• Ivan Levaï par Xavier Cariou / RdV#8
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7.9.07
RIP Luciano Pavarotti
Pavarotti et James Brown
Pavarotti et Lou Reed
Pavarotti et Barry White
Pavarotti et Meat Loaf
Pavarotti et Queen
Pavarotti et Lisa Minelli
et le meilleur pour la fin: Pavarotti et...
David Lachapelle se fait les filles de Wysteria Lane
Le résultat est plutôt...inquiètant.
Plus que 30 jours avant l'enfer.
6.9.07
Rendez-Vous chez colette - part #1 : MUSIQUE!
Merci à la belle Ami pour sa performance intimiste applaudie.
Merci à la patisserie L'Ecureuil pour ses délicieux biscuits babouchka.
Merci à Leila et Olivier de Levi's et à Samuel et Luc pour Pernod.